J'ai toujours dit, notamment devant votre commission, madame la présidente, que nous reviendrions au droit commun dès que possible. Grâce à vous, nous allons pouvoir le faire dès maintenant, ce qui est tout à fait salutaire.
Ce qu'il faut retenir, c'est que ces mesures ont été prises pour faire face à cette pandémie. À en croire M. Ciotti, cette ordonnance doit être abrogée parce qu'elle serait beaucoup trop clémente ; à en croire M. Bernalicis, elle doit être abrogée parce qu'elle serait beaucoup trop sévère. Je la maintiens donc.