Puisque M. Lambert a développé son argumentaire, je vais tâcher d'y répondre. Tout d'abord, le recours à la réserve, qu'il s'agisse de la réserve civique ou de celle de la police nationale, ne peut se faire qu'avec le consentement des volontaires. La première partie de l'amendement de M. Lassalle est donc inutile. Quant à la seconde, qui exige des tests épidémiologiques, elle relève du pouvoir réglementaire.
Pour ces raisons, j'émettrai malheureusement un avis défavorable.