Nous pouvons discuter de ces sujets tranquillement. Tout d'abord, entre nous, nous pouvons prendre acte du fait que vous avez beaucoup travaillé à détricoter le code du travail, affaiblissant en particulier le rôle des organisations syndicales et leur capacité à défendre les salariés. Vous avez déjà fait suffisamment de mal pour ne pas en faire plus !
Ensuite, nous pensons effectivement que la précarité doit rester l'exception et la stabilité…