Il ne faut pas oublier que ces lignes budgétaires permettent à des missions internationales d'oeuvrer à résorber la faim, de faciliter la coopération internationale, d'apporter une aide humanitaire d'urgence et, au bout du compte, de travailler à la paix. Chacun le sait et vous l'avez dit vous-même, monsieur le ministre : aujourd'hui, les problèmes de migrations, de guerres ou de conflits sont souvent liés à la misère ou à la richesse. L'aide publique au développement peut y apporter des réponses.
N'oublions pas que la mission « Aide publique au développement » est centrale pour la diplomatie française. Dans ce budget, il n'y a pas de dépenses : il n'y a que des investissements.
Vous l'aurez compris : il est donc impossible pour le groupe GDR de valider un budget aussi faible au regard d'enjeux aussi fondamentaux.