On ne peut donc pas voir dans ces amendements une tentative de coup du rideau – chacun ici comprendra ce que je veux dire – , mais bien la réflexion d'une députée qui défend ses valeurs et estime que nous pouvons faire confiance aux structures consultées, c'est-à-dire aux hommes et aux femmes qui les composent, pour comprendre l'urgence. Pierre Dharréville l'a exprimé très clairement. Si une consultation exigeait de tenir des délais, de ne pas respecter le quorum, de reporter de quarante-huit heures, peut-être serait-ce parce que l'information entrante ne rassurerait pas ceux qui sont appelés à la consulter.