Il se trouve que la logique administrative fait que le bilatéral, les pays les moins développés et le don sont l'affaire du ministère des affaires étrangères. Si nous sommes cohérents, il faut traduire nos propos en actes. On ne change rien quant aux masses, mais on les alloue aux priorités que nous considérons unanimement – j'ai écouté tous les orateurs – comme telles.