Il ne s'agit pas d'une révolution, ni d'une bataille administrative entre deux ministères – ce n'est pas le sujet, ce serait médiocre – ; mais il s'agit de dire que si on veut faire du bilatéral et du don et donner la priorité aux pays les moins développés, et plus encore peut-être à la zone sahélienne, il faut très clairement non seulement le dire, mais également se donner les moyens de renforcer le ministère le plus à même de traduire cette politique.