Cet amendement est très bien expliqué dans son exposé sommaire. Il vous est proposé de relever le plafond d'autorisation des conversions de dettes, qui est aujourd'hui limité à 2,040 milliards, de 30 millions d'euros pour permettre un renforcement de l'aide à la Tunisie. Cet engagement avait été pris par la France lors de la visite en Tunisie du Premier ministre Bernard Cazeneuve en avril 2017 et réitéré par le Premier ministre Édouard Philippe le 5 octobre dernier. C'est un effort financier qui s'inscrit totalement dans notre soutien à la démocratie tunisienne. C'est pourquoi je souhaite que l'on puisse majorer un plafond aujourd'hui insuffisant.