Ainsi que l'a déclaré le Président de la République dans son discours aux Nations unies le 20 septembre 2017, l'organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) assume un rôle-clef : conserver au monde un visage humain.
La récente élection de votre prédécesseure, Mme Audrey Azoulay, à la direction générale de cette organisation est un succès pour la diplomatie culturelle française, et a de surcroît réveillé l'attention portée à cette institution onusienne essentielle.
Quelles ont été, en 2017, les transferts budgétaires, directs et indirects, entre la France et l'UNESCO – c'est-à-dire la contribution de la France à l'institution mais également les financements nous parvenons à attirer grâce à elle ? Que seront-ils en 2018, à l'heure où le retrait des États-Unis est scruté par tous ?