Je vous remercie, monsieur Jolivet, d'avoir rappelé que nous avons anticipé la problématique de l'accès à des actifs stratégiques français par des pays qui n'ont pas nécessairement un intérêt pour les sites industriels, les emplois et les savoir-faire français, mais qui cherchent avant tout à s'emparer d'une technologie au profit de leur propre développement économique.