Vraiment, nous nous serons très mal compris : vous n'avez pas répondu aux questions que je soulève, monsieur le secrétaire d'État, pas plus que certains de mes collègues, dont M. M'jid El Guerrab, qui fait comme si je parlais de la dette détenue par des intervenants privés. Or je parle de la dette souveraine, qui se trouve dans le coffre de la Banque centrale européenne. Je ne parle pas d'une autre dette, je ne propose pas d'émettre des titres de dette : je parle de titres déjà émis et de leur transformation en titres de dette perpétuelle sans intérêts.