Troisièmement, monsieur de Courson, vous nous dites que nous ne savons pas où nous allons en constatant que nous avons dû présenter trois PLFR. Au contraire, c'est la preuve que nous nous adaptons à la situation. Aucun pays au monde n'a fait autant pour aider ses acteurs économiques. Nous avons répondu à tous, qu'il s'agisse des salariés avec l'activité partielle ou des indépendants. Nous avons aidé les entreprises en les recapitalisant et en les soutenant. Une compagnie aérienne a-t-elle été mieux soutenue qu'Air France ? Un producteur automobile a-t-il été mieux soutenu que Renault ? Je crois que l'intégralité du tissu économique salue ce qu'a fait le Gouvernement.
Monsieur de Courson, je ne crois pas que vous ayez les facultés d'un Nostradamus ; vous rêvez seulement de l'être, …