Monsieur le député, vous avez souligné quatre points. Tout d'abord, je tiens à redire que les directives données aux forces de sécurité intérieure en matière de lutte contre les rodéos existent : l'intervention est requise, sans mise en danger évidemment des auteurs, une règle que j'ai le souvenir d'avoir appliqué comme haut fonctionnaire…