Ce n'est pas pour autant que le secteur du tourisme n'a pas besoin d'aide complémentaire. Je veillerai – à titre personnel et comme rapporteur du troisième projet de loi de finances rectificative – à ce que les aides soient bien ciblées. Je ne m'interdis absolument pas de donner un avis favorable à certains amendements s'ils venaient combler des failles dans le dispositif.
Émilie Bonnivard avait proposé pendant le printemps de l'évaluation une très bonne mesure pour augmenter l'attractivité de notre pays. Le tourisme, c'est très bien pour les cafetiers et les hôteliers, mais c'est aussi bon pour faire la publicité de la France.