Je termine, donc. Ne vous fâchez pas, monsieur Habib : vous avez employé le ton de l'humour, je vous réponds de même. Selon moi, les personnes que vous avez citées ne font pas preuve d'incohérence. En revanche, je suis très étonnée que vous-même ne souteniez pas la loi NOTRe : vous l'avez pourtant votée, non ?