Si l'idée est bonne, le contexte favorable et la forme adaptée, il convient de prendre aussi en considération l'aspect pécuniaire de la question. Or c'est là que le bât blesse, une proposition de loi n'étant pas nécessairement accompagnée d'une étude d'impact. Nous ne pouvons donc pas connaître le coût des dispositions prévues. Nous ne pouvons pas nous permettre de dire à nos concitoyens : « On rase gratis » !