Il offre un confort temporaire au lieu de préparer à un avenir et de forger une ambition. Il développe plus encore cet assistanat d'État à cause duquel, faute de pouvoir aider la personne en difficulté, la nation préfère lui verser une pension afin de s'excuser de n'avoir su répondre à ses problèmes, espérant par là, lâchement, acheter son silence.
Encore une fois, vous mettez la poussière sous le tapis, vous soignez les symptômes sans vous attaquer aux origines de la précarité étudiante. Si certains étudiants sont précaires, c'est parce que l'État a failli. Massifiant l'accès aux études supérieures, …