Vous voyez, monsieur le rapporteur, que si nous nous accordons sur le constat que la crise sanitaire et économique touchera d'abord les plus pauvres de nos concitoyens et les salariés les plus précaires, nous ne partageons en rien les solutions, puisque les vôtres visent une nouvelle fois à augmenter les impôts dans notre pays. Nous pensons au contraire que l'avenir de la France réside dans la libération des énergies, dans la protection de nos concitoyens les plus fragiles et dans l'unité nationale. Hélas, votre proposition de loi ne répond en aucune façon à cette ambition.