Je débuterai mon intervention en rappelant que les réformes fiscales engagées par notre majorité depuis 2017, en conjonction bien sûr avec d'autres réformes, ont permis d'accroître l'attractivité de la France. En 2019, notre pays est devenu la première destination des investissements étrangers – ce n'est pas rien. Avant la crise sanitaire, le bilan de santé économique et financier de la France s'était considérablement amélioré. Relisez, chers collègues, les analyses de l'INSEE : elles montrent que grâce aux mesures prises sous cette législature, notamment la baisse des impôts, la hausse du pouvoir d'achat avait conduit les ménages à consommer davantage et les entreprises à investir et à créer des emplois – et le recul du chômage, ce n'est pas rien. On est loin de cette histoire que nous servent depuis des mois ces agitateurs en révolte permanente et ces opposants qui rêvent d'un pays en ruine et le décrivent ainsi.