Si l'article unique de cette proposition de loi acte enfin le retour à un versement de la prime à la naissance avant la naissance de l'enfant, nous souhaitons, comme l'a très justement dit le rapporteur, que la date de ce versement ne dépende plus des aléas liés à un décret et soit inscrite dans le marbre de la loi. Je défends cette position de manière constante – avec vous, monsieur le rapporteur – depuis trois ans ; je me réjouis à la perspective d'une issue enfin favorable.