Mme la secrétaire d'État en a très bien expliqué l'objet. La date que je propose, le 1er janvier au plus tard, permet d'éviter une inégalité de traitement entre des parents dont les enfants seraient nés la même année. Trois mois d'écart, c'est peu. Si nous le leur demandons, nos administrations accepteront de faire un petit effort.