J'admets que la rédaction proposée est trop centrée sur l'appartenance religieuse. Je retire donc mon amendement. Je prends toutefois date pour que nous tentions, à l'avenir, de résoudre cette question grave, qui touche en effet à l'intime, mais qui montre surtout la nécessité de répondre, dans le respect de la laïcité et de la République, à ceux de nos concitoyens qui souhaitent suivre des rites funéraires confessionnels mais ne peuvent pas le faire, notamment en raison de contraintes juridiques empêchant quelqu'un n'habitant pas dans une commune d'y être enterré. J'espère que nous aborderons ces questions dans d'autres textes.