Je crois donc moi aussi qu'il y a des choses à remettre à plat, monsieur Le Maire, mais je doute que nous ayons la même conception desquelles. Je crois, moi, que ces cadeaux incessants au capital et ce remboursement si urgent de 10 milliards contreviennent au principe de l'égalité devant l'impôt dont je rappelle qu'il fonde le consentement républicain à l'impôt, et qu'ils avantagent une fois plus les revenus du capital au détriment de ceux du travail.
Mais puisque vous parlez de remise à plat, je vous prends au mot. Vous voulez une remise à plat en matière de contentieux ? Alors faites sauter le verrou de Bercy !