Monsieur le président Woerth, j'ai trop de respect pour la souveraineté du Parlement pour me permettre de lui demander d'accélérer ses travaux. Je crois pourtant comprendre que vous partagez cet objectif pour cette séance.
Je confirme ce que vous dites, monsieur de Courson. Lorsque le ministre de l'intérieur a écrit ce courrier, il a certainement considéré – et j'ai le sentiment que cela se vérifie – que, au-delà des discussions que nous avons en ce moment, tous les parlementaires s'accorderaient sur l'opportunité de prévoir cette dotation.