M. le rapporteur général m'a semblé apporter un brouillage plutôt qu'un éclaircissement. En tout cas, nous constatons un repli sur l'amendement de Mme Bénédicte Peyrol qui fait du respect de la stratégie nationale bas-carbone une condition d'octroi des aides, et qui correspond peu ou prou à l'accord de Paris sur le climat. Je m'y rallie donc volontiers.
En revanche, je trouve proprement scandaleux de considérer que la présence dans un paradis fiscal n'implique pas le refus d'une aide.