… y compris de processus que vous aviez repoussés dans cet hémicycle ! Le chemin le plus court vers l'Europe, madame Grégoire, c'est le courage des nations. Ce courage, vous en manquez singulièrement. On ne vous demande pas de réformer les entreprises d'un coup, d'un seul ! Nous demandons seulement si relancer l'économie nécessite de donner les millions et les milliards de la puissance publique, qui se font rares, à des entreprises qui s'assoient sur leurs obligations les plus fondamentales : respecter la trajectoire carbone, ne rien placer dans les paradis fiscaux, prévenir l'esclavage moderne. Vous nous répondez que l'on avisera plus tard.