Je m'inscris en faux contre ce que vous venez de dire, monsieur Dufrègne. L'amendement de Mme Bénédicte Peyrol, que le groupe Agir ensemble votera car il est quasiment identique à celui que nous avions déposé, vise bel et bien à imposer des contraintes d'ordre écologique aux entreprises du grand capital, celles dont le chiffre d'affaires est supérieur à 500 millions d'euros. Loin de céder aux forces de l'argent, nous imposons des obligations aux entreprises qui ont les moyens de les remplir.