M. de Courson souligne le fait que l'État répond présent pour accompagner la Polynésie et qu'il le fait dans le respect d'une organisation territoriale et de compétences spécifiques.
Madame Sage, je vois que vous vous impatientez, mais nous sommes prêts à réévaluer les besoins lorsque les 240 millions d'euros auront été totalement engagés, s'ils le sont. Il y a, comme vous le savez, une légère divergence entre l'évaluation des besoins par nos services et par le comité d'experts dont vous avez évoqué le travail mené localement mais, si une réévaluation est nécessaire, vous saurez nous trouver et nous saurons répondre présents.