Vos propos m'inspirent cependant une interrogation sur le plan opérationnel : que regarde-t-on vraiment lorsqu'on veut réinvestir dans une entreprise, maintenir des relations commerciales ? Vous avez raison de dire qu'il ne faut pas aggraver les déficits – ce n'est pas qu'une question fiscale. Cependant, on tient souvent compte des revenus EBITDA – earning before interests, taxes, depreciation and amortization – et du BAIIA, le bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement ; alors le problème que vous soulevez se pose moins.