Agir avec les Français, et non à leur place, suppose aussi d'abandonner la posture paternaliste à l'égard des jeunes. De nombreuses mesures ont été annoncées, notamment le repas à 1 euro au restaurant universitaire pour les étudiants boursiers. Cependant, nous restons sceptiques : l'avenir des jeunes devra-t-il encore dépendre du bon vouloir des entreprises qui seront incitées à les embaucher ?