Nous déplorons qu'aucune nouvelle recette fiscale n'ait été envisagée. Si l'on recourt exclusivement à la dette, celle-ci sera à la charge des générations futures ou pèsera sur nos services publics. Nous proposons de mieux taxer les plus-values et dividendes des multinationales, lesquelles correspondent généralement aux industries les plus polluantes et au secteur de la finance.