En première lecture, j'avais choisi de vous dépeindre le plus sensiblement possible l'injustice subie par les femmes veuves concernées, la douleur ajoutée à leur douleur. Mais cela n'a pas suffi à emporter la majorité des voix.
Depuis hier, nos collègues du groupe Les Républicains, que j'ai écoutés attentivement, nous disent que les arguments d'amour et de compassion ne sont pas audibles et ne doivent pas appartenir au vocabulaire d'un législateur, celui-ci devant légiférer en dehors – je cite – « de tout sentiment ».