Il s'agit, non de nous substituer au médecin, mais de préciser dans la loi – que l'on étudie en faculté de médecine – que l'aide médicale à la procréation s'adapte à toutes les situations et que, lorsqu'une stimulation hormonale n'est pas nécessaire, il n'y a pas lieu de la proposer. En quoi cet alinéa interfère-t-il avec la décision médicale finale ?
Je ne vois pas pourquoi vous ne voteriez pas cet amendement, d'autant que, depuis le début de l'après-midi, vous n'arrêtez pas de nous parler des risques de la stimulation hormonale.