Je ne parviens pas à comprendre l'intérêt de la distinction entre centres privés et centres publics en matière de conservation des gamètes. Pourquoi les établissements privés n'auraient-ils pas le droit de les conserver – à moins, bien sûr, que l'interdiction ne soit motivée par un problème de compétence ? C'est complètement discriminatoire et, de plus, incohérent avec l'organisation du système sanitaire. Cela va à l'encontre du plan « ma santé 2022 », qui promeut le rapprochement et la complémentarité entre les secteurs public et privé. Je propose donc de supprimer l'alinéa 34.