J'ai indiqué tout à l'heure que, même si je ne vous connaissais pas, je vous accordais le bénéfice de la bonne foi – il est vrai qu'en droit français, la mauvaise foi ne se présume jamais. Je tiens maintenant à saluer, devant l'ensemble de la représentation nationale, votre imagination, qui est d'une particulière fertilité.
Je vais vous dire deux choses. La première, c'est que la question que vous posez n'a strictement rien à voir avec le présent projet de loi. La deuxième, c'est qu'il faut quand même réussir à imaginer qu'un juge puisse décider qu'une femme enceinte devienne un homme !
Le 14/08/2020 à 10:56, Laïc1 a dit :
Depuis que la médecine peut faire ce qu'elle veut sans conscience, c'est-à-dire sans finalité thérapeutique, l'imagination n'a plus de borne.
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