La dialectique entre ces deux priorités traverse les débats des législateurs et des juristes depuis le code Napoléon, si ce n'est avant ; elle est assez saine, à condition d'aboutir à un résultat équilibré. Or nous considérons que nous sommes en train de sortir de cet équilibre.
Pourquoi considérons-nous que l'enfant est la priorité ? Parce qu'il est l'objet de la famille, parce qu'il est l'avenir…