Je comprends qu'en tant que garde des sceaux, vous souhaitiez d'autant plus un texte juridiquement inattaquable. Comme membre de la représentation nationale, je privilégie le fait d'apporter une réponse aux familles dont les enfants demeurent dans l'insécurité juridique. C'est pourquoi je reprends les deux amendements de ma collègue Vanceunebrock pour les soumettre au vote, monsieur le président.