Monsieur le rapporteur, vous avez mentionné le problème des inégalités territoriales. L'amendement vise à les corriger. Un élargissement de la validation médicale aux gynécologues membres d'un centre d'orthogénie ou d'un service de gynécologie-obstétrique accroîtrait le nombre de praticiens mobilisables, favorisant une plus grande capacité de mobilisation de l'équipe pluridisciplinaire qui doit donner son avis et qui n'est pas présente dans tous les centres de France.