Monsieur Ratenon, l'adoption de votre amendement nous priverait des associations de droit privé qui peuvent aujourd'hui aller chercher des personnes « invisibles », qui échappent aux radars. Je comprends votre crainte, et il n'est pas question que ce statut s'applique à des organismes privés. Nous ne voulons pas nous priver de la possibilité laissée au préfet d'habiliter par arrêté des structures sérieuses d'accompagnement dans ce domaine. Je demande donc, comme je l'ai déjà expliqué en commission, le retrait de cet amendement.