Lors des débats qui ont eu lieu sur le sujet à l'Assemblée il y a quelques années, auxquels j'ai participé en tant que député et rapporteur, vous n'étiez pas, il me semble, aussi enthousiaste que vous l'êtes ce soir.
J'ai cru entendre, en outre, dans votre intervention, que le débat sur la réforme institutionnelle pouvait attendre puisque c'est l'élection présidentielle qui le tranchera. En somme, ce débat est urgent mais ne pourra pas avoir lieu avant vingt-quatre mois !