Il vise à étendre aux post-doctorants le suivi prévu pour les docteurs partis à l'étranger, dans la mesure où ils font partie intégrante de la communauté des chercheurs français et sont particulièrement susceptibles de « s'exporter » – si vous me passez l'expression – , compte tenu de la nature de leur contrat de travail, d'ailleurs souvent conclu pour une durée déterminée.