Madame Petit, c'est évidemment un sujet important – mais vous le savez très bien. L'ANR finance déjà de nombreux projets concernant les réservoirs de pathogènes, leurs transferts à l'homme et les mécanismes biologiques afférents.
L'ANR a en particulier permis de satisfaire aux objectifs du plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmissibles par les tiques de 2016 formulés à l'action 13, « développer de nouveaux outils de diagnostic post-exposition vectorielle s'appuyant sur les nouvelles technologies, y compris en s'inspirant des méthodes diagnostiques vétérinaires », et à l'action 14, « mener des études sur l'épidémiologie et la physiopathologie des maladies transmissibles par les tiques ». Un effort de recherche soutenu concernant ces maladies est donc fourni. Demande de retrait ; à défaut, avis défavorable.