Je n'ai pas grand-chose à ajouter au réquisitoire que vous venez de prononcer, au nom de la protection de nos valeurs républicaines, pour saluer le courage de tous ceux qui, à Charlie Hebdo et ailleurs, montrent à ceux qui veulent sacrifier leurs libertés que la grandeur de la France, c'est évidemment de pouvoir caricaturer, de pouvoir choquer, de pouvoir imprimer, de pouvoir dessiner. L'Assemblée nationale s'honore, monsieur le député, du courage de vos propos.