Je vous remercie également d'avoir cité Fariba Adelkhah, notre compatriote franco-iranienne, condamnée à six ans de prison et détenue depuis plus d'un an en Iran, dont la condamnation, qui n'est fondée sur aucun élément sérieux, est purement politique et arbitraire. Il nous faut aussi nous mobiliser pour elle et, globalement, face à l'aggravation des violations des droits de l'homme en Iran, en particulier à la suite des manifestations de novembre 2019. Il faut le faire systématiquement au niveau diplomatique : dans chacune des enceintes où nous sommes amenés à parler, nous évoquons ces cas qui concernent l'Iran, comme nous le ferons dans les prochains jours dans le cadre de l'assemblée générale des Nations unies, qui se tiendra sous forme virtuelle. Les parlements aussi doivent se mobiliser, comme vous le faites aujourd'hui.