J'accuse comme vous le choc de cette annonce et je partage avec vous la conviction que nous devons accompagner ces 863 salariés, ces 863 familles et l'ensemble des familles des sous-traitants qu'elle concerne, mais je ne crois pas à la fatalité. Je ne crois pas qu'il faille baisser les bras et haranguer ici et là au lieu de chercher des solutions, comme nous le faisons.