En effet, j'ai vu quelles étaient les difficultés d'un certain nombre de nos collègues allemands, qui sont obligés d'aller tous les ans négocier leurs crédits auprès de l'État fédéral. Si nous nous engagions dans cette voie, vous risqueriez de vous voir imposer des limites tous les ans. Ainsi disparaîtrait l'autonomie financière à laquelle nous sommes extrêmement attachés et pour laquelle je me battrai, moi, toujours, parce qu'il vaut mieux avoir la possibilité de percevoir un certain nombre d'impôts locaux que de réaliser des dépenses affectées au niveau national.