Vous avez mille fois raison : pendant la crise sanitaire, les associations ont tenu bon, se sont levées et ont résisté. Mais elles ont pris en pleine face les conséquences de la crise et qui sont de deux ordres : humain et financier.
Certaines associations n'ont pas pu organiser leur festival, certaines ont même dû fermer leur rideau, d'autres encore ont vu arriver à leurs portes une partie de la population encore plus fragilisée que celles auxquelles elles étaient habituées – je pense aux banques alimentaires ou aux associations de solidarité. Voilà pour les besoins financiers, qui sont réels.
Mais la crise a également eu des conséquences humaines. La moyenne d'âge des bénévoles s'accroît et ils se sont fatigués.