Je vous rassure : je suis moi aussi en contact avec l'hôpital de mon territoire. Il est vrai que l'hôpital risque l'asphyxie, vous avez raison, et c'est bien pourquoi je vous ai interrogé précisément : sur les recrutements, où en sommes-nous ? sur le nombre de lits, où en sommes-nous ? Vous ne m'avez pas répondu, je le regrette.