À cette polyphonie, j'apporterai trois dissonances. Premièrement, il n'est pas question de supprimer l'enquête publique mais de donner aux préfets la possibilité d'avoir recours à une enquête électronique. Deuxièmement, ce recours n'est pas toujours possible puisqu'il est réservé aux projets non soumis à évaluation environnementale, c'est-à-dire à ceux qui font courir le moins de risques à l'environnement. Troisièmement, je ne partage pas votre vision idyllique de l'enquête publique, …