Je voudrais remercier le collègue qui vient d'intervenir avant moi pour ses paroles de sagesse. Dans ma première intervention, j'avais bien dit que je lançais un appel pour que vous compreniez l'urgente nécessité de se pencher résolument sur cette problématique qui sévit sur le territoire de la Guyane. Nous sommes à deux doigts d'un embrasement irréversible de la situation, parce que nous n'avons pas été en mesure de trouver les justes réponses aux vraies questions que se posent les populations.
J'ai un peu anticipé en vous disant que je soutiendrai ultérieurement un autre amendement sur le même sujet, aussi j'espère que vous aurez compris le sens de cet appel. Par conséquent, il serait probablement plus judicieux que je retire celui-ci pour éviter de le voir rejeté, mais j'espère vivement que nous pourrons nous accorder sur une stratégie qui soit véritablement au bénéfice de la Guyane et des autres territoires qui subissent la même problématique.